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Comment je suis devenue la lope de Maitresse Clara
Aimant réaliser mes fantasmes, je me rends cet après-midi dans la chambre d’hôtel de Clara qui les met en scène avec talent dans des jeux de rôles captivants.
Une blonde merveilleuse, grande, élancée, aux jambes interminables, au sourire fripon et carnassier, dans une petite robe noire ras du cou, m’ouvre la porte en souriant. Son abondante chevelure blonde tombe en cascade sur ses épaules. Ses yeux verts en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel. Sa robe très courte laisse voir des bas noirs soigneusement tenus par une porte jarretelle de la même couleur.
Perchée sur ses escarpins à talons de 10 à 12 centimètres, elle m’invite à rentrer dans son univers. Après l’échange de quelques mots pour me mettre à l’aise, elle me demande :
« Décris-moi ton fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes. »
Je lui confie alors que :
« J'aimerai pouvoir rentrer dans la peau d'une fille pour me faire enculer, devenir une vraie salope, appartenir à une enculeuse qui m’utilisera selon ses envies, avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint et un clito ultra sensible pour jouir de multiples manières. Je rêve également de porter une lingerie glamour en vivant le scénario suivant : je voudrais qu’une belle travestie me fasse l’amour après que je lai longuement sucée, jouisse dans mes fesses en me faisant crier de plaisir. J’aimerais qu’ensuite elle me défonce avec un énorme gode ceinture puis quelle me fiste profondément, j’aimerais avaler son sperme, boire son urine, lui nettoyer la chatte, quelle fasse de moi une salope prête à tout pour satisfaire toutes les envies de ma Maîtresse. »
« Beau programme, si je comprends bien tu veux que je fasse de toi ma lopette, ma femelle soumise, mon esclave personnel ? Tu me donnes des idées, me dit Clara d’un air inspiré. Désormais, je m’adresse à toi au féminin. Tu seras ma poufiasse, ma salope, ma tapette. Tu vas devenir un petit pédé bien à moi. Et puisque tu es déjà entièrement épilée, ma chérie, je vais pouvoir te transformer en femme avec tous ses artifices. Suis-moi, nous allons choisir tes dessous », me dit-elle en me prenant gentiment par la taille.
Une demi-heure suffit à faire éclater ma féminité, et elle me place devant une glace pour que je puisse admirer ma métamorphose.
Je suis coiffée d’une perruque brune très seyante qui adoucit mes traits.
Mes yeux allongés par le maquillage portent des faux cils, mes lèvres sont ourlées d’un rouge intense et un fond de teint achève ma transformation. Mes seins sont comprimés dans une guêpière
rouge et noire recouverte dune adorable combinaison en satin de même couleur s’arrêtant à mi-cuisse. Un slip fendu en son milieu encadre ma queue d’un écrin de dentelle et de soie en offrant ma
croupe au regard de Clara. Complétant ma tenue, huit jarretelles maintiennent les coutures de mes bas bien alignés sur mes cuisses ornées de deux ravissantes jarretières.
Je virevolte devant la glace et admire ma taille prise dans cette ensorcelante guêpière qui comprime ma poitrine. Je tire sur mes bas et caresse en frissonnant de plaisir le voile de nylon tendu sur mes jambes, en admirant leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins. Puis je déambule dans la chambre pour sentir la tension de mes bas tout en frottant sensuellement mes cuisses lune contre l’autre pour entendre le crissement des fibres qui m’enflamme les sens. J’exhibe involontairement mes fesses hautes et bien cambrées qui plaisent généralement aux femmes.
Clara n’y fait pas exception et je la vois fixer ma croupe avec insistance :
« Viens sur le lit, ma chérie, je suis impatiente de m’occuper de ton petit cul. »
Elle me renverse sur le dos en glissant sournoisement sa main sous ma combinaison satinée. Je la sens remonter lentement le long de mes jambes et se refermer sur mes bourses quelle masse avec douceur. Ne pouvant résister à ses caresses, j’ouvre imperceptiblement les cuisses.
Avec perversité, elle continue à saper ma résistance en sentant ma verge vibrer sous ses doigts. Puis elle ouvre la fente de mon slip et m’enfonce lentement son majeur dans les fesses. Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut et masse avec insistance ma glande d’amour en me masturbant dune main experte. Jai très vite une érection spectaculaire.
« Tu mouilles beaucoup, ma belle, et ton oeillet est déjà bien ouvert. Attends-moi un instant, je reviens m’occuper de toi », me dit-elle d’un ton prometteur.
Elle réapparaît, seulement vétue de son porte jarretelle et des ses bas noirs, équipée dun impressionnant gode ceinture noir. Il se balance lourdement entre ses cuisses à chacun de ses pas. Il a un gland épais, comme je laime, et une hampe striée de grosses veines apparentes.
« J’espère qu’il te plaît car il mesure six centimètres de diamètre et atteint presque les trente centimètres de long », me dit-elle avec perversité.
-Je suis pucelle, tu vas me briser le cul !
·- Mais c’est bien ce que tu recherches petite salope. »
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant quelle le lubrifie en me décochant des regards brûlants. Avec une étrange lueur dans les yeux, elle s’approche de moi en caressant lentement la hampe de ce gode qui me donne des frissons.
« · Maintenant, lève-toi mon ange, je veux te prendre debout et de face. Remonte ta combinaison. »
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en découvrant mes jarretières. Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert. Clara sourit en voyant mon érection.
Puis elle me plaque contre la cloison de la chambre et force mes cuisses avec son genou. Empoignant mes bourses pour dégager l’accès à ma grotte, elle me plonge le gode dans le ventre en me fixant droit dans les yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister. Clara me cloue au mur comme un papillon et s’enfonce en moi par petites poussées successives. Elle s’aide de ses mains agrippées à ma taille pour m’empaler avec force sur le gode.
« Te voila bien prise, mon ange », me dit-elle.
Son bassin collé contre moi, elle s’active en donnant de puissants coups de reins qui me font défaillir. Je gémis de plaisir en écartant les cuisses pour lui faciliter la tâche.
« Cest bien ma chérie, continue comme cela », me dit-elle en relevant ma jambes contre sa taille.
Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser. L’image que me renvoie le miroir est très excitante. Je suis debout, une jambe posée sur sa hanche pour quelle m’empale plus facilement. Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse laisse apparaître mes bas et mes jarretelles tendues à craquer pendant qu’elle continue de me limer en me masturbant dune main experte. Je lui tends mes lèvres et Clara commence à m’embrasser voluptueusement tout en m’enculant. Je défaille damour. Sa langue plonge dans ma bouche cherche ma langue, joue avec, l’aspire puis elle mordille mes lèvres et replonge sa langue tout au fond manquant presque de m’étouffer. Je manque d’air, mais je reste collée contre sa bouche, préférant mourir plutôt que de faire cesser son baiser. Elle me saisit par la nuque pour m’embrasser sans discontinuer tout en me baisant sans relâche
« Je sens ta queue grossir entre mes doigts », s’exclame-t-elle, pendant que je vois dans le miroir mon corps tressauter en cadence sous l’intensité de ses assauts.
J’ai soudain l’impression d’être dans la peau dune fille que l’on viole à la hussarde en la prenant contre un mur pour satisfaire ses pulsions. Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Clara par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.
« Je vais te finir sur mon lit, mon ange », me dit-elle avec un sourire carnassier.
Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance comme un métronome entre ses cuisses.
« Maintenant, écarte les jambes et prends tes chevilles en main pour rester ouverte », me dit-elle dune voix sensuelle.
Debout face à moi, elle contemple ma rosette qui s’ouvre comme une fleur.
Je suis fascinée par cette Maîtresse dominatrice qui s’approche de moi en soutenant dune main ferme le pieu imposant quelle me destine. Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre et c’est avec un regard brûlant quelle me pénètre avec une lenteur calculée. Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland démesuré et je laisse échapper un cri lorsqu’elle me transperce le ventre.
« Pousse fort ma chérie », m’ordonne-t-elle.
Je lui obéis en sentant alors le gode se ruer dans mes reins. Satisfaite, elle me décalotte le gland en me masturbant très lentement.
« Je sens ta queue frémir sous mes doigts », me dit-elle avec excitation.
Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber sur moi de tout son poids en s’enfonçant cette fois-ci jusqu’à la garde. Le souffle coupé, mes mains se referment par réflexe sur le pal qui me transperce pour tenter en vain de freiner sa course. Mais elle me baise si bien, que j’abandonne très vite toute résistance. S’arrêtant un instant, elle me dit :
« Ce ne doit pas être tous les jours que tu prends un tel calibre dans les fesses ? »
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons pour l’encourager à m’empaler plus à fond.
Soudée à moi, elle me travaille l’oeillet avec une habilité diabolique en tournant vicieusement le gode pour me faire sentir ses reliefs tourmentés. Elle roule et ondule du bassin en faisant vivre dune manière prodigieuse ce pieu qui m’enflamme le ventre. Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime régulièrement la racine du sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Je finis cependant par succomber à sa perversité. Quand Clara perçoit mon souffle court et me voit prise de tremblements, elle sait que je vais bientôt jouir. Elle me chuchote alors à loreille :
« Cest le moment, ma chérie, laisse-toi aller. »
Savourant l’instant, j’essaye au contraire de prolonger mon plaisir en contractant mes fesses pour retenir la sève que je sens monter dans mes reins.
« Tu ne vas pas me résister bien longtemps », m’assure-t-elle en riant.
En effet, pleine de ressources, elle gratte lentement mon frein avec son ongle. L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir. Elle plaque alors son bassin contre moi et pousse le gode au plus profond de mes entrailles. Mon sperme trop longtemps contenu jaillit dans sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues arabesques blanchâtres sur ma guêpière.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi-clos, en extase, en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.
Me sentant totalement à sa merci, Clara caresse mes bourses et presse ma queue entre ses doigts pour finir de me vider. Puis elle me retire le pal et enlève les sangles qui lui ceignent la taille et le plonge dans ma bouche.
« Nettoie toi-même tes souillures que tu as déposé sur mon gode, petite traînée. Je vais te donner une fessée pour t’apprendre à avoir un cul bien propre quand tu viens me voir. Puis, maintenant que je tai bien ouverte je vais venir jouir entre tes fesses."