claratalon

Cette nuit-là, j'avais été dans un club un peu chaud de Paris, et en étais sorti vers 3 h du matin. Ma tenue était: jupe latex noire, hyper moulante bien sur, bas gerbe couture noirs, escarpins vernis noirs 12 cm de talons aiguilles, chemisier noir.

Après avoir proposé ma compagnie à quelques hommes durant quelques heures au bois, enfin fatiguée vers 6 heures, je me changeais dans ma voiture vers la porte Dauphine.

M'étant démaquillée, préoccupée d'enlever mes bas, je vis soudain un homme en blouson de cuir, 40 ans, qui me fit signe d'ouvrir la porte.

 

Son attitude frénétique m'excitait

Son intérêt pour moi me poussa à le faire, et je lui ouvris la porte.

Il entra précipitamment, sans dire un mot, et d'ailleurs il ne parla absolument pas durant notre rencontre.

Alors qu'il s'asseyait à la place à droite de celle du conducteur que j'occupais, je remarquais un collier en cuir noir autour de son cou, et une laisse qui en partait, tenue entre ses dents. Ma jupe en latex laissait sortir mon sexe, que je lui montrais pour qu'il suce. Il se précipita dessus. Son attitude étrange, frénétique m'excitait. C'était bon.

Je commençais, tandis qu'il me suçait, à lui masser le cou, les épaules.

Puis je le tirais par les cheveux, lui donnait une petite gifle.

Il était très agité, et me fis des signes de la tête pour que je le sorte, m'amenant sa laisse. Il bondissait dans l'espace réduit de la voiture, et ses yeux de chien m'imploraient de le sortir.

 

Il m'amena sa laisse

Mon cœur battait, et je lui demandai de me passer les escarpins de 12 cm de talon qui étaient sur le sol devant lui, que j'avais enlevé avant son arrivée. Il les attrapa, les mis dans dans sa gueule et me les passa successivement, content de me rendre service, comprenant qu'il allait pouvoir sortir avec sa maîtresse dans le matin qui se levait sur le bois.

Ayant rapidement chaussé mes talons vernis, sans bas, sans maquillage, c'est en maitresse hybride que je lui ouvrais la porte donnant sur le trottoir et que je le suivais, le retenant par sa laisse.

Nous avons rapidement traversé la chaussée éclairée pour passer dans les sous-bois pratiques de l'autre côté de l'avenue qui part de la porte Dauphine vers le lac.

Là, mon chien, à quatre pattes, défit son blouson; il tournait tout content, tirant sur sa laisse. Je le calmais en lui donnant des coups de talons, puis lui ordonnais de les lécher, ce qu'il fit de sa langue preste.

Autour de nous des branleurs agitaient leurs membres.

Le sexe du chien à quatre pattes était tout droit.

Le chien me suce
Je le faisais me sucer ma queue sous ma jupe hyper moulante en vynil et je jouissais autant des sensations que des images de cette scène, si extraordinaire et inattendue. Langue chaude, parcours tout fou du chien, regards reconnaissants, répression de la laisse...

Le chien jouit, je lui rendis la laisse, il se redressa, remis son blouson, me fit une bise sur la joue, très tendre, et se dirigea en homme vers une grosse cylindrée noire garée à proximité du sous-bois où nous étions.

Dans cette très belle voiture, une superbe blonde, jeune, bronzée et bustée, attendait sans un mouvement le retour du conducteur, qui démarra, fit faire demi-tour à la limousine et partit vers la porte Dauphine.

Je retournais à ma voiture, achevais ma transformation et parti en cravate vers une journée d'homme.

Le chien allait etre assassiné chez lui par la maitresse blonde plusieurs mois après.