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Ce matin, le ménage s’imposait.
Cela ne fait pas partie des tâches les plus excitantes qui soient. Il faut donc s’organiser pour la rendre un peu ludique.
Il faut conjuguer une tenue pratique avec des éléments qui délivreront leur lot de sensations agréables.
Une des matières les plus agréables par le frottement et la tension que la peau ressent enfermée dedans, c’est le nylon. Choisissons donc de mettre un collant nylon/strech. Très serré, brillant, couleur chair pour le chatoiement.
Le tablier est utile pour la protection contre la poussière. Et puis, noué derrière, mais sans jupe en dessous, cela ajoute à l’affichage coquin.
Les chaussures. Ballerines ? Se déplacer en ballerine donne une touche de sensualité aux pas, le pied pouvant rouler sur le sol leur de son déplacement. Mais préférons les talons. Ils entrainent à cambrer les reins.
Escarpins ? L’escarpin est sans doute ce qui habille le plus le pied. Mais ce matin pas d’autre spectateur que la ménagère qui se verra dans un miroir en passant devant. Ballerines ? Se déplacer en ballerine donne une touche de sensualité aux pas, le pied pouvant rouler sur le sol leur de son déplacement.
Sandales ? C’est finalement ce choix qui est retenu. Des sandales à talon de 8 cm, à lanières croisées, laissant au pied entouré de nylon des possibilités de glisser sur la semelle cambrée, ces mouvements millimétriques délivrant des frottements agréables et délassant, surtout sur les coussinets qui précèdent le début des orteils. Dans les sandales, chaque orteil jouit d’une liberté de mouvement et peut être tendu et détendu de manière autonome, ces contractions/décontractions amenant une petite détente du pied, partie à la fois essentielle chez le bipède, aux formes et volumes si variés, dont les mouvements peuvent, autant que ceux d’un genou, émouvoir le spectateur jusqu'à ce qu’il lui réserve une partie non négligeable de son attention.
Le vêtement couvrant le dessus permettra les gestes amples que peuvent exiger la manipulation d’un chiffon à poussière caressant les meubles ou s’éventant à la fenêtre.
La ménagère ainsi habillée se distraira avec les petits gestes, mouvements, glissements, sensations de températures sur les surfaces de peau mises dans une enveloppe couvrante mais fine. Et, pourquoi pas, au moment de redresser un tapis, imaginer qu’il y a un homme derrière elle, avec sa chaleur proche…