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  • : Travesti expérimentée, fétichiste des talons aiguilles, disponible pour des missions ponctuelles. Blonde aux yeux bleus, 184 m 70 k, discrète, je me déplace. Ce site donne tous les moyens pour me joindre. Je ne fais pas de show à la caméra. Compétences professionnelles: secrétariat, organisation d'événements, rédaction... Caractère: agréable, posé,communiquant, synthétique,analytique. English spoken. Disponibilités: France ou étranger, en semaine...
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Voyage et sens

La préparation tenait compte des goûts émis par le correspondant, contacté initialement par internet, puis ensuite et surtout par téléphone. Le téléphone fait passer le timbre de voix, les intonations des échanges permettent à chacun des correspondants de mesurer l'attrait que l'évocation de telle ou telle situation suscite chez l'autre.

C'est ainsi qu'une confiance prudente peut s'établir entre deux inconnus qui vont chercher à mettre en commun leurs vibrations l'espace d'une rencontre, durant laquelle chacun cherchera à mettre le maximum de ses rêves en œuvre. Ou, au contraire, tacitement, chacun sent que le diapason n'est pas accordé à celui de la voix qu'il entend. Le vocabulaire, la considération, l'écoute, le dialogue sont des éléments de la mise en phase, ou au contraire de l'évaluation des distances sensuelles, culturelles, humaines...

 

La mesure de ces distances permet de décider si le pas de la rencontre réelle peut être franchi avec une probabilité de vibration commune, avec un risque réduit de déception, une certitude d'authenticité.

Les points communs touchent souvent aux demandes sensuelles. Les correspondants s'entendent au téléphone sur leur désirs et attentes, voire dans certains cas sur un scénario.

 

Compte tenu de cette phase préliminaire, Clara avait revêtu un body strech blanc décolleté, dont les jarretelles tendaient des bas blancs sur ses jambes qui plongeaient dans des escarpins blancs à bout pointus, et aux talons d'une hauteur modeste de 8 cm. Cest dans cette tenue qu'elle pensait séduire son correspondant, homme marié avec qui elle avait correspondu à plusieurs repriPICT0072ses au téléphone, et beaucoup échangé sur son amour des travestis.

 

Le voyage pour rejoindre cet homme, seul pour quelques soirées dans sa bergerie du massif central, allait se dérouler sur plusieurs centaines de kilomètres, de nuit et par un temps exécrable, animé de bourrasques et de pluie. Elle tenait à arriver dans une tenue sophistiquée qu’elle avait devinée souhaitée par son hôte, pour trancher avec la rusticité de son cadre de vie habituel. Elle souhaitait offrir le plus beau des dépaysements qu'elle pouvait apporter à son montagnard. Un tailleur blanc, jupe droite au dessus du genoux et veste légèrement cintrée, épaules carrées et boutons  dorés, allait amener tailleur-blc-flou.JPGune allure citadine dans un chalet partiellement en bois, mais confortablement installé.

 

Comme toujours par prudence, aucun parfum n'enjolivait cette tenue, la première règle d'une femme d'une nuit étant la plus grande des discrétions. L'odorat d'une femme légitime mémorisant les odeurs habituelles de son nid, toute nouvelle effluve non rationnellement explicable déclenche instinctivement une recherche d'origine. La coquetterie d'une accompagnatrice se passe en conséquence de parfum, de strass ou de maquillage à paillettes.

 

 Après une rapide collation, la fermeture de sa valise qui comprenait un vrac de tenues et dessous pour pouvoir changer d’ambiance s’il le fallait ou si l’humeur s’y prêtait, Clara monta en voiture, disposant près d’elle le jus d’orange qui pourrait l’aider à rester éveillée durant la route.

Partie vers 19 h, ce n’est que vers une heure du matin qu’elle arriva sur la place de l’église du village, point de rencontre avec son correspondant, qui la guida en voiture jusqu’à son habitation.

Le trajet ne correspondait pas à une ambiance d’été comme, pourtant, le calendrier l’aurait laissé prévoir. Les éclairs donnaient parfois un éclairage brutal sur les cuisses de la conductrice. A la longue, le plaisir de ces flash disparaissait pour accroître la lassitude de la conductrice, dont les yeux se fatiguaient de ces changements d’intensité lumineuse accompagnés de coups de vents à contrôler en serrant le volant. La poésie, l’excitation des sensations du nylon sur les jambes, du pied cambré dans les talons, du sexe retenu dans le strech, du titillement des tétons dans leurs coques, laissait petit à petit place à la lassitude du voyage, à l’interrogation sur l’utilité de tels déplacements pour le plaisir de la chair et, somme faite des frais et du temps passé, peu rémunérateurs.

Mais quoi ! Personne ne forçe Clara à chercher ces rencontres de sexe, mais surtout de communion avec un homme. Elle aime être la créature qui permet l’évasion ; elle est heureuse de permettre à son partenaire une prise de distance, sans conséquence nuisible, avec sa vie habituelle. Rapidement, la nostalgie fait place à la recherche de ces petits plaisirs qui donnent du piquant à la vie.

 

 Dans sa voiture, Clara sortie de l’autoroute suivait des poids lourds. sucetteLa visibilité était bouchée par leurs projections sur le pare-brise de sa voiture. Impossible de doubler à vitesse réduite, plafonnier allumé éclairant des jambes découvertes jusqu’aux jarretelles, avec l’espoir de déclencher les appels de phares qui peuvent être une invitation à un arrêt au prochain parking.

 

 Elle aime interrompre les longs déplacements qu’elle fait comme cela. Souvent surpris de découvrir un travesti plutôt que la femme qu’il attendait, le routier ne donne pas toujours suite à son invitation. Mais il est fréquent qu’un autre des routiers arrêtés se laisse tenter par une petite distraction non planifiée en l’échange d’un petit billet. Et, s’il ne se passe rien, prendre le frais en talons a le don de réveiller la conductrice qui reprend ensuite le volant gaiement.

 Mais dans les conditions atmosphériques de ce voyage, il ne fallait rien attendre des bords de route, invisibles à trois mètres.

La voiture de Clara suivait maintenant celle de son hôte sur une petite route de montagne qui traversait un petit village dont les maisons s’accrochaient à la pente. Dernier virage à droite, la voiture s’arrête pour permettre à son conducteur de se précipiter pour ouvrir la lourde porte cochère. La pluie a cessé, le vent peu soutenu autorise une sortie sans manteau ni imperméable. Clara passe vite un peu de rouge sur les lèvres qui devaient en avoir besoin.

Elle rentre sa voiture en suivant les indications gestuelles de son ami éclairé par les phares.

Le sol gravillonné amène Clara à marcher avec prudence pour ne pas enfoncer les talons en ouvrant le coffre pour sortir les lourds bagages. L’homme qui la précède ouvre la porte sur le perron, rallume les lumières et se montre affairé à l’approche de sa correspondante.

La porte refermée, quelques mots d’appréciation rassurent la voyageuse sur l’intérêt que lui porte son hôte. Il lui prend les bras pour l’amener au salon, et un premier frémissement trahit l’émotion de la blonde qui voudrait céder à l’abandon après la fatigue de la conduite. Les lèvres de son vis-à-vis lui communiquent sa chaleur, et elle se laisse sans prier fondre dans la sensualité.

La cuisse touche l’entrejambe de l’homme et annonce un membre de belle taille et fermeté.

 

Après l'avoir fait asseoir dans le salon au bord de la cheminée, le maître de maison revient de la cuisine avec un saucisson du pays, au goût de viande bien prononcé. La bouteille de champagne  accompagne cette collation et redonne vie à Clara, qui peut en outre se régaler de voir le membre hyper tendu de son hôte qui, n'y tenant plus, a rapidement ouvert sa braguette et manifesté une joie intense.

Tout en suivant une vague conversation sur la vie en montagne, la blonde joue de son corps. Ses jambes bougent pour que les talons battent l'espace, et que la jupe du tailleur découvre la lisière des bas. Ce dont elle avait envie arrive bien vite, une main calleuse remont de ses genoux pour se glisser entre bas et jupe. Se relevant, Clara qui avait abandonné sa veste depuis le champagne, laissant ses épaules bronzées nues, striées des deux bretelles blanches du body, dégrafe la taille de la jupe serrée. Tournant le dos à son hôte dont le regard s'arrête à ses fesses, elle ouvre avec difficulté le zip de la jupe.

Dessinant des S de ses fesses, frottant ses cuisses l'une contre l'autre, elle fait descendre la jupe le long des bas, jusqu'au sol, dont se décollent l'un après l'autre les talons blancs pour sortir du cercle approximatif tracé à terre par la jupe tombée. Elle s'efforçe de ne pas laisser paraître sa concentration pour maintenir son équilibre sur un talon lorsque l'autre se dégage de l'emprise du tissu. Elle voulait que ses fesses captent l'attention de son spectateur, et que le bruit du choc des talons lui donne un tempo excitant.

 

En partie pour sécuriser son assise, elle se laisse retomber, trop lourdement à son goût, a côté de son hôte. Pour distraire son attention, elle rit en basculant ses jambes vers son voisin, qui met aussitôt ses mains sur le haut des cuisses et l'embrasse.

 

Enfermé, le sexe de la femme lui tenait chaud, et Clara aimait cette sensation. Elle savait qu'elle était entraînée dans une volupté qu'elle saurait faire partager. Sa peau émettait des frémissements perceptibles par contact. L'homme devenait encore plus fou, le sexe gonflé, humide et raide, la langue folle dans sa bouche.

Se dégageant, elle absorbe ce qu'elle put du sexe de l'homme, goutant les perles qui en étaient sorties. Lui, dégage sur une de ses fesses le bas du body, lorsque les trois boutons pressions se désolidarisent. Mettant à profit la surprise, Clara amorce le baissement du pantalon de son hôte, qui se lève pour dégager ses chaussures, enlever le pantalon, et enlever les chaussettes. L'enlèvement des chaussettes est toujours attendu comme un test par Clara, qui pendant que son ami se dépêtre dans la phase la moins érotique de l'amour chez l'homme, touche sa chatte en y mettant du gel.

PICT0076Le sexe de Clara devenu apparent aux yeux de son cavalier, celui-ci l'attrape avant de le mettre en bouche et de le sucer maladroitement, tandis qu'il branle à pleine main le sien, qui n'avait besoin d'aucune excitation pour rendre hommage à la femme qu'il embrassait ainsi.

 

La main quittant le sexe pour caresser le sillon de la femme lui fit amorcer une rotation du bassin ayant  pour effet de dégager son clitoris de la bouche qui le dévorait et de présenter sa chatte à la langue furtive de l'homme.

Après deux ou trois lapements, l'homme se redressa debout et pris Clara, à genoux sur le canapé les bras sur le dessus du dossier. Lentement, en suivant les indications de la femme qui redoutait un tel membre, la pénétration se faisait. Les yeux fermés, l’amante revoyait sa fatigue et les peurs du voyage pour sombrer dans la jouissance.

Les éclairs de ses souvenirs se mêlaient au chavirement de son corps.

 

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